Éboulement en Isère près de Rovon non loin de la départementale, jeudi soir

Un important éboulement s'est produit en Isère près de Rovon non loin d'une départementale
          L'éboulement a eu lieu vers 19 heures jeudi, en bordure du massif du Vercors rapporte France Bleu Isère.

Selon les informations relayées par France Bleu Isère, un éboulement s’est produit aux alentours de 19 heures jeudi, à proximité du massif du Vercors.

Un important éboulement a eu lieu jeudi 25 juillet sur la commune de La Rivière, à l’ouest de Grenoble (Isère), non loin de la départementale 1532 en bordure du massif du Vercors, comme l’a rapporté France Bleu Isère. Cet éboulement a été caractérisé par un premier événement en début d’après-midi, suivi d’un second plus conséquent vers 19 heures.

Les opérations de recherche de potentielles victimes ont été interrompues jeudi soir en raison de l’instabilité du terrain et des risques d’accidents supplémentaires dans l’obscurité. Elles devraient reprendre vendredi matin après une évaluation des risques géologiques résiduels. La préfecture de l’Isère a précisé qu’à ce stade, aucun disparu n’a été signalé et rien n’indique la présence de victimes potentielles.

Le Sdis de l’Isère a mobilisé une cinquantaine de sapeurs-pompiers et cinq équipes cynophiles pour rechercher d’éventuelles victimes. Les services de Restauration de terrains de montagne sont également sur place. Des secouristes ont mentionné que le tas de gravats atteignait 20 mètres par endroits, représentant ainsi des milliers de mètres cubes de terre. Les géologues tentent de comprendre les mouvements ayant entraîné le glissement de terrain.

Le maire de La Rivière a souligné que la départementale 1532 est très empruntée, avec environ 7 000 véhicules circulant chaque jour en moyenne. Cette route est la seule gratuite entre Grenoble et Valence, ce qui pose des questions sur la redirection du trafic vers d’autres secteurs plus urbanisés.

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L’éboulement a été qualifié d’impressionnant, avec un pan entier de la montagne se décrochant. Le préfet de l’Isère a reconnu des signes de déstabilisation préalable, mais rien ne laissait présager un événement d’une telle ampleur. Il a assuré qu’aucun employé ne se trouvait dans la carrière au moment de l’éboulement.

Source de l’article : Francetvinfo

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